Lephénomène de la mendicité et de la vente à la sauvette au niveau des feux tricolores sont interdits dans la capitale béninoise. La Police municipale de Cotonou a fait une descente dans la matinée de jeudi dans la ville. Sous la houlette du nouveau directeur Marc Da Costa, les policiers municipaux étaient à plusieurs carrefours stratégiques de la ville. Objectif :
Société Dans ce quartier emblématique de Paris, réputé dans le monde entier pour son patrimoine et son charme, les voyageurs sont régulièrement victimes de vols et d'arnaques. Reportage. Publié le 23 août 2022 à 18h03 Au premier plan à gauche, la carrousel de Saint-Pierre, dans le square Louise-Michel, menant à la Basilique du Sacré Coeur qui surplombe Montmartre. ©CHRISTOPHE SAIDI/SIPA Mi-août, à Montmartre. Sous la chaleur étouffante de Paris déambulent les touristes. Guide en main, sac sur le dos et casquette sur la tête, des milliers de visiteurs espagnols, américains, britanniques, allemands, hollandais, italiens, chinois ou japonais, profitent de leurs vacances estivales et inondent les rues du quartier emblématique de la capitale connu dans le monde entier pour son histoire et ses artistes. Et au beau milieu de la foule des délinquants, vendeurs à la sauvette, petits trafiquants et voleurs à l’arraché, le plus souvent clandestins, eux aussi reconnaissables à leur LIRE Vols, bagarres, agressions la population face à l’enfer du crack en Seine-Saint-Denis Au carrousel de Saint-Pierre, au pied de la butte, des invectives retentissent. Pourquoi tu me regardes, huh ? », lance en anglais à une passante étrangère un homme d’origine africaine assis sur un banc. Après elle, déambulent deux jeunes roms, qui tentent de faire signer des pétitions bidon aux passants pour mieux les voler. Comment allez-vous mes amis ? », demande l’homme assis sur le banc avant de toucher deux mots à l’un des roms. La fameuse montée du square Louise-Michel de Montmartre demande des pauses. Les différents étages permettent aux touristes de souffler et de profiter de la vue sur Paris. Alors que les photos de groupe s’enchaînent, deux mineurs suivent un homme qui porte un sac sur l’épaule, ce dernier se retourne, les deux jeunes se retirent et feignent un brutal changement d’itinéraire. L’homme reprend son chemin et les deux adolescents, craignant d’avoir été grillés, décident de lui passer devant pour lever tout soupçon. Ils retenteront le coup sur un signe de tête, un peu plus loin, sans succès. Après avoir passé la fontaine et déambulé dans un passage étroit, les touristes profitent une nouvelle fois du panorama exceptionnel, malgré l’odeur omniprésente d’urine et de cannabis aux alentours. Quelques marches plus tard, des taxis passant dans la rue du Cardinal Dubois déversent de nouveaux arrivants, sous les yeux d’un vendeur ambulant de barbe à papa, au milieu de la foule. Un marché noir à ciel ouvertA LIRE Pas de vacances pour la délinquance En milieu d’après-midi, le vendeur se retire subitement quand une voiture de police se dirige vers lui. La verbalisation est délicate, il ne parle pas un mot de Français. Mis à part et fouillé, il est prié de quitter les lieux. Un étage plus haut, sur le parvis, des vendeurs de cadenas se succèdent. Cinq euros ! Cinq euros ! », répètent-ils à haute voix. Trois fois, des gens me demandent le prix ; trois fois, je leur dis cinq euros ; et trois fois, ils n’ont pas assez », se plaint l’un d’eux à un LIRE Trocadéro sept hommes d’origine algérienne exploitaient des ados drogués pour des vols ciblant les touristes Quelques jours plus tôt, un autre vendeur illégal avait carrément installé un drapeau et un panneau qui indiquait Cadenas, Love Lock, 3 euros, carte Visa acceptée. » Et les touristes achètent. Sur les barrières qui entourent le parvis, des milliers de cadenas identiques et signés sont accrochés. Dans la chaleur de la journée, toutes les issues, surtout en haut des escaliers, sont aussi occupées par des vendeurs d’eau fraîche à 1,50 euro, qui dissimulent leurs cargaisons dans les buissons du square Nadar, un parc canin où ils font leur toilette à la fontaine et même parfois leurs besoins. Je vais lui demander une autre bouteille, celle-là est remplie de moitié ! » Après son achat, un Français regrette. Il y en a plein, partout, c’est de la vente facile, se désole une coiffeuse ambulante sur la place du Tertre. Il y a aussi des voleurs. En haut du funiculaire, des Roumaines font signer des pétitions pour t’arnaquer. Et d’autres sont plus discrets. Ils agissent tous en bande. » Une résidente de Montmartre, attablée à un café de la rue des Abbesses, renchérit Ils sont surtout à Pigalle et Montmartre, ils s’attaquent à tout le monde, mais surtout aux touristes, il y a plein de voleurs et c’est bien connu. » Je n’ai jamais vu autant de touristes et de voleurs Plus tard, un visiteur français prévient une patrouille de police sur le parvis du Sacré-Cœur. J’ai oublié mon téléphone dans le taxi. Le mec n’a pas voulu me le rendre, il a dédaigné me répondre au bout de la 50e fois. J’ai dû lui filer 20 euros pour qu’il me le redonne, s’emporte le touriste venu de Saint-Tropez auprès de Valeurs actuelles. On sait que ça craint partout par ici, même dans les taxis. » Une dame âgée est assise sur un banc du square d’Anvers. J’ai autrefois habité Montmartre, ça a bien changé. Je n’ai jamais vu autant de touristes et de voleurs », confie-t-elle au milieu des oiseaux qui picorent. Si les Français sont au courant des dangers qui sévissent autour de la Basilique, qu’en est-il des étrangers ? Oui, on le sait, confie une vacancière britannique, j’étais déjà venue ici à 11 ans, pour un voyage de classe, et j’ai vu plein de gens se faire voler leurs portefeuilles ou d’autres choses de leurs poches. » Une touriste asiatique confirme Évidemment qu’on est au courant, et à juste titre. Je ne me sens pas tellement en sécurité ici. Je vois peu de policiers pour autant de pickpockets. » Il y a bien ce père de famille indien, assis dans un restaurant de la rue du Chevalier de la Barre, qui relativise et trouve la présence des forces de l’ordre suffisante J’en avais déjà entendu parler, mais aujourd’hui je le vois. Je ne me sens pas pour autant en danger. » La touriste britannique, elle, loue les policiers Je les ai beaucoup vus, ils font des tours pour dissuader, ça fait se sentir en sécurité. » Un agent le reconnaît d’ailleurs Aucun des grands lieux touristiques à Paris n’est épargné. A Montmartre, les vendeurs à la sauvette sont dégagés ou se barrent en voyant la police, et puis ils reviennent. » Un mécanisme bien huilé C’est vers 15h, alors que l’affluence est à son paroxysme, qu’arrivent les vendeurs à la sauvette. Sur leurs tapis, régulièrement réapprovisionnés, toutes sortes de produits sont proposés des chapeaux, des sacs, des bracelets, etc. Et si une patrouille de police passe, ils remballent tout en quatrième vitesse. Le vendeur de barbe à papa a par exemple changé de lieu de vente et opère désormais devant l’entrée du Sacré-Cœur, où la chaleur monte et le degré d’alcool aussi. Plus loin, d’autres vendeurs d’origine indo-pakistanaise circulent sur les marches et proposent des bières. L’organisation est bien ficelée, chacun se relaie. Chaque spot est à sa place, et alors que le ciel s’obscurcit, des tensions éclatent entre deux vendeurs à la sauvette. Proche d’en venir aux mains, ils sont séparés in extremis par leurs complices les dissensions éloignent les clients. Sous l’orage qui commence à gronder au loin, les milliers de visiteurs s’empressent de déserter les lieux. Dans le square Louise-Michel, Deux passages exigus permettent de descendre au carrousel de Saint-Pierre. Des groupes d’environ cinq personnes d’origine africaine bloquent le chemin, en attrapant le bras des touristes avec insistance afin de leur faire des bracelets. Hey ! Américain ? » ou bien Bonjour mon ami, d’où viens-tu ? », les abordent-ils en anglais. Harcelés, des visiteurs doivent presque se débattre, d’autres préfèrent les ignorer, gardant prudemment les mains dans leurs poches. On ne vous emmène pas en Afrique, hein ? », lance l’un d’eux à une personne âgée, qui refuse de donner son bras. Les policiers sont là, mais souvent dépassés. Il en faut plus. On ne se sent pas du tout en sécurité. Les touristes se font avoir, ils n’y connaissent rien, et les policiers ne peuvent rien faire », résume une commerçante de la rue Steinkerque. C’est un peu chaud. On essaye d’avertir les touristes, mais ils peuvent laisser leur sac et en deux secondes, c’est fini, raconte son voisin. Les pickpockets sont au minimum deux ou trois, ils sont organisés. Les policiers sont là, mais souvent dépassés. Il en faut plus. » Les rues se vident sous la pluie. Les touristes et les voleurs plient bagages. Je connais les visages de tous les voleurs, ils me disent même bonjour, dit une marchande. Quand ils se font arrêter, ils reviennent trois jours plus tard. » Le cycle infernal.
LaPolice Municipale n’intervient pas, elle a, dit le Maire, ‘ Peur d’être prise à parti par la foule. ‘. Les agents , dans un semblant de confidence affirment travailler avec la Police Nationale, les douanes et la Gendarmerie. La finalité est que personne ne fait rien et surtout pas le Maire. Pourtant, l’article 10 du règlement de 2002 interdit la vente ambulante à moins de 500

Une nouvelle opération coup de poing, coordonnée entre les polices nationale et municipale, s'est avérée on ne peut plus fructueuse ce dimanche 7 février au matin, au niveau du Grand-Mail sur l’avenue Heidelberg. Sur réquisition du procureur de la République, une vaste opération, coordonnée entre police municipale et nationale, a été organisée ce dimanche 7 février en milieu de matinée afin de lutter contre la vente à la sauvette qui gangrène les commerçants légitimes installés au niveau du Grand-Mail sur l’avenue Heidelberg à La Mosson. Une cinquantaine fonctionnaires mobilisés Une opération coup de poing qui a mobilisé une cinquantaine de fonctionnaires et qui s’est une nouvelle fois avérée on ne peut plus payante. En effet, si le 24 janvier dernier, 3,3 tonnes de fruits et légumes avaient été saisies, c’est cette fois-ci 4,1 tonnes de denrées alimentaires qui ont été confisquées par les services de police et remises à la banque alimentaire. Un vendeur de cigarettes de contrebande arrêté De nombreuses procédures ont été établies contre les auteurs identifiés tandis que plusieurs véhicules, voitures mais aussi fourgons, ont été appréhendés. À noter qu’un individu vendant des cigarettes de contrebande a également été interpellé et placé en garde à vue. Et que des contraventions ont été distribuées pour stationnement anarchique et non-port du masque.

Descentedans la matinée de ce jeudi 4 mars 2021 de la Police municipale de Cotonou dans la ville sous la direction de son nouveau Directeur, Marc Da Costa.. Ce déploiement de la police municipale, très tôt au niveau des carrefours stratégiques de la ville entre dans le cadre de la mise en œuvre du plan stratégique pour le développement de
Après les violences de mardi 19 et mercredi 20 juillet en plein centre de Montpellier, retour dans un quartier en colère. L’émoi est encore vif dans le quartier de Plan-Cabanes près d’une semaine après la rixe entre bandes rivales à coups de bâtons et de machette en plein jour mardi 19 juillet et son "match" retour lire ci-contre. Aziz, le patron du café le Mirador, dont la terrasse fait l’angle avec la place, était aux premières loges au moment de cette irruption de violences "inouïe", symptomatique de la guerre de territoires à laquelle se livrent les équipes de vendeurs à la sauvette de cigarettes mais aussi de stupéfiants. D’ailleurs, alors que nous sommes en pleine discussion, un homme l’interrompt pour lui proposer du shit ! Une scène surréaliste mais à laquelle habitants et commerçants comme Aziz sont tristement habitués. Mais ce mardi-là, le règlement de comptes a débordé sur sa terrasse "Le gars a pris une chaise en bois à la boulangerie en face et l’a jetée sur un jeune qui passait devant ma terrasse. La chaise a atteint un de mes clients à la tête. C’est à ce moment-là que j’ai appelé la police municipale. Mais vingt minutes après, le gars est revenu avec la machette…" "On voit ces bagarres constamment, mais là l’image de cette violence en plein jour qui a été vue jusqu’aux États-Unis, ça a un impact négatif pour le commerce, le tourisme, la ville", confie l’un des amis d’Aziz, habitué du Mirador. Et de constater une inexorable décrépitude du quartier "Les touristes ne viennent plus, même mes enfants ne veulent plus venir manger au café, ça tue le commerce", poursuit le restaurateur qui a déposé plainte et écrit au préfet. "On est impuissant face à ces gens qui veulent prendre notre quartier. On ne peut pas arrêter l’hémorragie quand on voit que les têtes de réseaux font marcher les affaires avec de la traite d’humains", confie une femme dans le café. Cet après-midi-là, les deals vont bon train de l’autre côté du Cours Gambetta. Les grappes de vendeurs quadrillent le trottoir, parfois devant les commerces. Un manège qui s’est enkysté depuis des années dans le quartier. Les consommateurs de tabac, drogue et médicaments viennent récupérer leur tabac au détail et surtout au rabais, à pied, en trottinette ou même en voiture. Ils n’ont plus peur de créer un bouchon, depuis que la circulation routière a fondu avec le nouveau plan de déplacements. Les vendeurs des étrangers en situation irrégulière, souvent des mineurs qui gagnent quelques sous pour survivre. La marchandise est cachée un peu partout dans les murs, les appartements. " Il n’y a pas de violence comme ça, inouïe, pour des pacotilles ", poursuit cet autre client habitué de Plan-Cabanes. Tous évoquent une guerre de territoire entre bandes rivales dont les têtes de réseaux, parfois liés à des commerces fantoches, seraient identifiées par les autorités. " Il y a un problème vous ne croyez pas ?", soulève l’un des clients. "Les autorités se sont fait dépasser ", se désespère Aziz qui, lui, refuse de partir et de " les laisser gagner ". "La peur doit changer de camp", conclut son ami. Mardi, la tension entre ces bandes a explosé… sur les réseaux sociaux avec une vidéo prise par un riverain. Les habitants voient bien les opérations de police coordonnées, les patrouilles de police municipale régulières, les contrôles de commerces qui écopent de fermetures administratives le préfet annonce que neuf procédures de fermeture sont en cours à Gambetta. "C’est triste qu’on ne trouve pas de solution" "On a beaucoup dit qu’avec les travaux du faubourg Figuerolles le quartier allait s’améliorer, mais ça n’a rien changé, le problème est toujours là. Ce qui s’est passé est hallucinant", constate attristé ce commerçant qui s’est enfermé à clé dans son magasin lundi en voyant un individu courir avec un couteau. Avant de prévenir la police. Il travaille dans le quartier depuis trente ans. "On ne peut pas travailler normalement ici, tout ça impacte la clientèle". Le maire s’est déplacé lundi 25 juillet, en compagnie de policiers municipaux sur une mission de sécurisation. Des chaises de "chouf" posées devant les commerces fermés sont jetées. "Pour affirmer la présence de l’autorité publique, on ne lâchera rien ", assure le premier édile. "Je ne vois pas comment on réduit ce genre de phénomène. C’est triste que l’on ne trouve pas de solution !", indique encore le commerçant qui a vu les dealers s’installer jusque sur la rue du faubourg après le confinement. "Notre quartier a mauvaise réputation depuis 20 ans, cette violence ça s’est banalisé. La police est là mais une heure après, les vendeurs sont de retour, des caméras ont été installées il y a quelques mois mais ça ne les effraie pas !"
Montpellier: Vente de tabac à la sauvette à Gambetta, le règne des bandes rivales. Mardi 19 juillet, une rixe a éclaté au niveau de Plan-Cabanes à coups de bâtons et de machette. Midi
Ventesà la sauvette Mosson. Une nouvelle opération de la police municipale de Montpellier contre la vente à la sauvette de masse a été menée samedi sur des parkings proches des halles des 4

Cest sans doute ce que s’est dit l’homme qui a été interpellé par la police municipale, mercredi 21 juin 2017, vers 23h50, dans le quartier Saint-Aubin, à

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vente à la sauvette et police municipale